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entre deux séjours à Paris (1925 et 1930) Victor Brauner se convertit au surréalisme, très pregnant à l’époque ; il collabore à la revue roumaine Unu, produit des oeuvres surréalitstes classiques comme cette Femme-fleur bien connue, et des dessins presque caricaturaux
réfugié en 1942 dans les Hautes-Alpes et solitaire, Victor Brauner laisse son imagination courir ; il exécute de nombreux dessins où se multiplient les métamorphoses, les figures chimériques, l’œil qui devient une sorte de signature, le thème du double, etc
> il aboutit à créer le Congloméros, personnage imaginaire, contraction de "conglomérat" et de "Éros" et dans le même esprit, La Palladiste -le tableau au second plan- qui "fait face à son double masculin à tête de poisson, l’attention étant concentrée sur l’échange des regards et sur l’esquisse d’une étreinte qui semble suspendue, comme le motif des serpents entremêlés : dans ces deux oeuvres la mythologie de Brauner décline les principes féminin et masculin de l’amour et de la magie" [commentaire Centre Pompidou]
Brauner Victor Congloméros |
une période moins connue : versé dans l’ésotérisme, Victor Brauner explore de nouvelles voies par un langage primitif exotique proche de l’art brut, style qu’il ne cessera de développer ; ces explorations métaphoriques et alchimiques semblent être une façon de refermer la boucle de la vie ; ce changement de style n’est qu’apparent, inspiré notamment par l’art brut du peintre medium Fleury-Joseph Crépin, qui était collectionné par Victor Brauner comme André Breton ! |
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au MAM |
cette "Femme surréaliste à l’oiseau" de Alain Virmaux est dans la tradition surréaliste influencée par l’art brut et l’art africain une belle pièce abordable |
le Jardin des métiers d’Art et du Design accueille des artisans d’art et designers pour créer en binôme, une démarche novatrice une expo captivante l’explique |
le surréalisme si bien expliqué au Centre Pompidou voit un énorme succès, à ne pas manquer mise en jambe ou visite préalable |
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