tapez un ou deux mots :

les sous-rires de 2015

 

  > sommaire de l’humour

> accueil d’Almanart

> vous aimez deviner ?


en ces pages d’humour l’ordre chrono est inversé / images : clic=zoom lorsque possible

 

 

 

décembre en relectures :

> dans Le Roman des Rouart (David Haziot, Ed Fayard) : "Berthe Morizot peignait dans les prés ; alors qu’elle s’éloignait un peu, une vache s’approcha de son chevalet et lècha la toile fraîche, barbouillant toutes ses couleurs et s’en mettant plein le museau" : c’est ce qu’on appelle un tableau lêché ?

> Georges Mathieu dans L’abstraction prophétique (Gallimard) : "on en est arrivé à un tel point d’inconscience et de délire, à une telle perfection dans l’organisation de l’hallucination collective ... que le dernier des imbéciles qui ramasse un caillou dans la rue et le signe peut arriver, avec une publicité bien montée, à le vendre pour le prix d’une voiture américaine" : c’était en 1921 !

> Léon Bloy, Exégèse des lieux communs (Mercure de France) : "quand le Bourgeois, retiré des affaires, a marié sa dernière fille, il encourage les beaux-arts"

> Jean Cocteau dans les Enfants terribles (Grasset) : "combien d’hommes distraits pénétrèrent dans des trompe-l’oeil et ne sont pas revenus ?"

 

 

> ne pas confondre l’amour de l’art et l’amour-dollar :

Thomas Lélu,
In gold we trust, 2012,
panneau en bois, laque automobile, spray, 195x130
 

> en 2015 il n’est plus possible de s’exprimer simplement, il faut toujours en rajouter, marketing-langage oblige : très concret, absolument vrai, une vraie promesse (élctorale), etc, ce qui prouve que le fait est exactement l’inverse de celui qu’on prétend, car s’il faut forcer l’argument, c’est bien qu’il est douteux...
démonstration en art : "elle publie des ouvrages d’art en série limitée, conçus comme de véritables oeuvres d’art" [Madame Figaro déc 2015, dans un article complaisant] ; depuis quand un livre d’art est oeuvre d ’art, bouffonne ?

 

 

novembre, le rire est (aussi) manière de résister

 

> le vendredi 27, toute la France a pavoisé pour exprimer sa solidarité républicaine

> le hic, c’est que les drapeaux ont manqué, faute de prévoir une production suffisante ;
mais en France, si on n’a pas de production, on a des idées !

 

de notre envoyée spéciale Marie-Laure
qui précise que ce ne sont pas les siens !

 

 

> merci à ce dessinateur inconnu
(nos recherches n’ont pas abouti et sa signature n’est pas explicite)

> le rire, c’est la vie, le sourire c’est le partage !

 

artiste inconnu, image trouvée
sur le Facebook de Catherine Bellaïche-Bonan

 

  John Giorno

> le Palais de Tokyo rengorge de ces inepties : "Life is a killer", "Don’t Wait for Anything" et autres tartes à la crème, émanant de John Giorno, poète US de la contre-culture des 70’s, adulé en France par quelques snobs prétendant l’écouter dans le texte et sans dormir... une expo affligée d’un film capturant le poète en pleine création : en train de roupiller pendant 5 heures, une "oeuvre" soixantehuitattardée qui aurait pu rester dans les placards...
> explication ? le commissaire est Ugo Rondinone, mis en avant pour appâter l’amateur, et aussi le compagnon de Giorno...
> le Palais de Tokyo n’est-il pas sensé promouvoir les artistes français ? dommage, l’entartage ne soit plus de mode ! exemple

John Giorno, God..., 2015, acrylique, 1016x1016 (courtoisie Elisabeth Dee NY et PdT)

 

 

octobre n’est pas sobre

> "street artist est un label pour feignants ; je suis un artiste et la rue est simplement l’endroit où j’expose" prétend Shepard Fairey [Beaux-Arts octobre 15]

> et menteur en plus : les rues ne le voient plus trop, mais les galeries et le foires, si : à 8ème Avenue (la Foire Off de la Fiac 2015 dévolue au "street" art) il était partout, avec des prix de multiples exhorbitants... on n’est pas californien pour rien

 

Shepard Fairey, détournement de dollars
 

 

> mais en art ne soyez pas mesquins, laissez-vous aller, un petit million ça ne casse rien...

> merci à Leidi Hanani !

 

 

 

Posté par Leidi Hanani
 

Posté par Leidi Hanani sur lundi 11 août 2014

 

 

en septembre, l’été indien est chaud

Anish Kapoor, Dirty Corner

> Paul Mc Carthy, avec son doigté délicat, a fait ce portrait sulfureux mais tellement vrai de Picasso ; une oeuvre proche de la caricature à la fois du visage du Mâêtre et de sa personnalité bien connue des dames, qui attendent que le vieux pirate de l’art cligne de l’oeil (clic=zoom)

> à voir à l’exposition Picasso-Mania

 

Paul Mc Carthy, Dick Eye (Picasso), 2002, silicone
(courtoisie Hauser Wirth ZH)

 

Fabrice Hyber

> à l’exposition Take Me à la Monnaie vous pouvez vous procurer ce Nez-Cul, oeuvre de l’inénarrable Fabrice Hyber ; elle vaut 1_Ecu (un nez-cul) ; elle est petite, argentée d’un côté, dorée de l’autre et vaut... 2 €, pas de quoi se frapper

> où est le nez, ou est le cul ? regardez bien : clic=zoom

 

Fabrice Hyber, le Nez-Cul (1 Ecu), 1989-2015
réédité pour l’expo. à La Monnaie de Paris (courtoisie)

 

 

 

en juillet-août c’est "hot" !

> dans les Echos du 18 août 2015, l’éditorialiste Guillaume Maujean remarque (sur le cours du pétrole) que "le monde est devenu une sorte de machine de Tinguely : il suffit d’actionner un levier à un des bouts du mécanisme pour déclencher des réactions en chaîne peu maîtrisables, qui se manifestent là où on ne les attend pas toujours"

> bien vu ! mais... le monde n’est-il pas lui-même conçu par cette machine à dessiner, vue à Bâle au Musée Tinguely ? On cherche encore Celui qui a pesé sur le levier...

Jean Tinguely, Cyclograveur, 1960
(courtoisie Kunsthaus Zzurich)
 

 

> aux USA, Sarah Meyohas créé sa propre monnaie : le BitchCoin  ! qui nous l’espérons n’est pas une affaire de famille et ne vient pas de son activité nocturne -bitch signifie pute-
> ceci en collaboration avec la Where Gallery à Brooklyn (qui nous l’espérons aussi, n’est pas son mac)
> afin de financer sa production artistique ; mais au prix de 1 BitchCoin pour 100$ et 25 BitchCoins pour acheter un print, ça fait plutôt chaud la séance...

 

Sarah Meyohas, BitchCoin, 2015
  taryn simon

 

> ci-dessous Joël Ducorroy décrit un objet par sa définition sur une plaque minéralogique, au lieu de le représenter par l’image, soit entièrement comme vous le voyez dans son exposition cet été à la Maison Triolet-Aragon, soit partiellement ci-dessous ;
comme quoi la belle Milo Moiré à Bâle (à droite) n’a fait, en 2014, que dériver le concept en nommant ses vêtements au lieu de les porter, dans une opération plutôt proche de la com’... un style... dépouillé

  Milo Moiré nue à Artbasel 2014  
Joël Ducorroy, Ingres revisité, 2002
(courtoisie Gal. Lebon)

 

et j’en connais un qui doit regretter d’avoir
eu le nez coincé dans son portable ! >>

 

Milo Moiré nue visite Artbasel en 2014
(courtoisie Sébastien-Anex et lematin.ch)
 

 

.
riez, souriez sur vos petits écrans :
  > le blog d’almanart : curiosité, humour, people, sexy...
.

 

 

en juin, gaffe les coups de soleil !

Anish Kapoor, Dirty Corner

Anish Kapoor, Dirty Corner, installation in-situ, 2015 (courtoisie Galerie Continua)

> pouffez de rire : les élus de Familles Avenir (sic), de Versailles, évidemment..., échauffés par la canicule, demandent "le retrait immédiat des gravats et saisissent le procureur de la République" pour "enlever ces pierres, gravats et déchets métalliques..." !
Qu’est-ce, Majesté ? un dépôt d’un laborieux indélicat, une grève des manants éboueurs ? mais non, une oeuvre de Anish Kapoor, invité au Château, qualifiée par lui-même de "Vagin de la reine qui prend le pouvoir"

> expliquons : Anish Kapoor avait prévenu d’inviter le chaos à Versailles ; ainsi cette oeuvre qui, malgré son aspect chaotique, est millimétrée ; ce Dirty Corner (’coin sale’) est posé en plein milieu de la pelouse, choquant comme un furoncle ! car dans ce parc immaculé "on a l’impression que le jardinier royal a éliminé les aspects de la vie qui ne sont pas acceptables : le désordre, le déclin, la sexualité" explique l’artiste qui veut rappeler une réalité, celle cachée derrière les bosquets où l’on médisait, complotait, déféquait et baisait...

 

  Alain Séchas  

> ils tremblent, transpirent... de chaud ? oui, mais de quoi exactement ?

> vous donnez votre langue au chat ?
mauvais choix... clic sur l’image = solution !

 

Alain Séchas, Le chat bowling, 1998
à l’entrée de l’expo "Jeux" à Pompidou
(courtoisie frac-alsace)

 

  Hatoum Mona  
Mona Hatoum, 2006
(courtoisie Gal. Hertzler)

 

> en cette période de chaleur, circulez avant de tomber en poussière !

 

 

affiche à l’entrée de
la Galerie Agnès B
 

 

 

 

"en mai, fais ce qu’il te plait"... ça ne manque pas !

 

> les jeunes artistes égaient la 60ème du Salon de Montrouge,
parfois sous la ceinture (ci-dessous) :

>> déjà, dès l’entrée, il vous faut
faire un choix cornélien :

en décoration de l’ascenseur
(non signé, artiste inconnu)

 

 - ensuite, vous pouvez choisir le vêtement à votre taille :

  salon de montrouge 2015
  péniens  
par Afi Avedji, une créatrice togolaise
qui a lancé des costumes péniens ;
un succès parait-il... grandissant !
(on attend le défilé de mode)

 

 

>> voici pour encourager les
jeune filles à faire du Vélib’ :

Caroline Trucco, qui a voyagé en Afrique, moque les codes
de monstration occidentaux, "qui deviennent glissants" [DP)

 

 

> Les Atamanes font revivre dans une exposition une artiste Second Maître peu ordinaire, célèbre surtout pour quelques fins connaissseurs : Aline Gagnaire, qui a fait des expérimentations assez osées, exemple :

> voici qu’elle découvre une reproduction de la Vénus de Milo comme celles qu’on pose sur la cheminée pour montrer qu’on a vu Paris, qu’elle ficelle et plonge dans du plâtre, puis la baptise "Venus Milo ficelée nouée et mise au bain" !

> un geste loufoque à la sauce OuPeinPo, groupe de farfelus (dont certains célèbres) dénommés les Oupeinpiens (merveilleux !) Cet "Ouvroir de Peinture Potentielle" est une branche de la Pataphysique elle-même proche du surréalisme, au même titre que l’Oulipo ("li" pour "littérature") déjà évoqué ici

Aline Gagnaire, Venus Milo ficelée
nouée et mise au bain, années 80
(courtoisie Galerie Les Atamanes)
  Aline Gagnaire

 

> fini les crampes aux mains au piano grâce à cette installation de Ben Tibbetts, nommée "Chicken stripper wheel play piano"... ce titre laisse hilare face aux sens argotiques de "chicken strip" (voir ici) ! A noter que c’est aussi une manière pour les manchots de jouer du piano (fini le "pas de bras, pas de toccata")

> cette désopilante machine est "une méta-structure de communications, de transferts incomplets d’énergies mécaniques et sonores, le rythme répétitif et ondulatoire produit par le mouvement circulaire, et tous ses bruits imprévisibles ... sa logique non-fonctionnelle subvertit celà et la machine met en débat le sens de cette énergie perdue"... que belle est la prose dirait le Bourgeois Gentilhomme...

> cette expérimentation fait partie des réflexions, en fait très intéressantes, de Head (Haute Ecole d’Art et Design de Genève) sur l’Art et Espace public, qu’un livre expose

Ben Tibbetts, installation faite aussi à Genève
(courtoisie Head)
  ben tibbetts

 

 

1er avril et plus :

 

  taryn simon  

> un 1er avril un peu balourd ? même pas, c’est authentique ! la Bibliothèque du Congrès des USA offre en 1989 un service de prêt d’ouvrages et magazines en braille, dont... Playboy : on se tâte pour savoir si c’est vrai !
A voir au Jeu de Paume jusqu’au 17 mai 2015, entre autres curiosités et incongruités bien choisies par l’artiste documentariste Taryn Simon

> et pour le manchots ? "pas de bras, pas de nana !"

 

Taryn Simon, Playboy en braille en 1989, Biblioth. du Congrès
(courtoisie l’artiste et Jeu de Paume)

 

  Giuseppe Penone Arbre des Voyelles  

< le célèbre arbre de Giuseppe Penone au jardin des Tuileries (voir le plan) va être replanté le 1er avril : le trou est prêt !

> nous avions déjà surpris son équipe
en train de préparer le terrain (>>)

Giuseppe Penone, Arbre des Voyelles,
1999 (courtoisie l’artiste)

 

  président Hollande  

> c’est le mois des bouffons, c’est bien connu...

 

inconnu, rue Debelleyme dans
le Marrant (pardon, le Marais)

 

 

mars attire larigot*

* : voir la définition de "à-tire-larigot"

> and the winner is...
le championnat du tire-clop a été gagné à pleins poumons par David Ancelin, dont le Ashtray (cendrier) doit sentir bon la fleur... Cette coupe qui semble ternie par la pollution, illiustre l’intéressante exposition au MacVal sur le thème des Garçons ;
sauf que les filles, statistiquement, clopent bien plus que les garçons, dont la virilité ne passe plus par le tabac

La prochaine fois, on vous montre la radiographie des poumons (s’il en reste)

 

David Ancelin. Ashtray, 2014, 90x24x24
(courtoisie MacVal)
  david ancelin

 

> le manège des 3 corbeaux : le Suisse Yves Bouvier, patron du Port franc de Genève, a été en garde à vue à Monaco, soupçonné d’scroquerie contre le milliardaire russe et président de l’AS Monaco Dmitry Rybolovlev, ainsi qu’un couple Suisse du coin soupçonné d’avoir escroqué des collectionneurs en surfacturant (de centaines de millions) des oeuvres [sources : AFP, quotidien suisse Le Temps, AMA]

> un beau manège, à l’instar de celui-ci vendu par Made in Chasse pour attirer les corbeaux de passage, par la rotation des formes de corbeaux ; comme la danse du ventre pour les VIP de l’art !

ce Manège de 3 Corbeaux n’est pas une sculpture, quoique...
 

 

Un grand nom comme Bruce Nauman attire les foules, mais ici l’artiste est passé du néon au néant :
> une grande salle vide où un haut-parleur re-rerépète "pour les enfants", oeuvre "reliée conceptuellement" (!) aux quelques notes de piano égrenées dans le jardin d’à côté ; le tout forme un ensemble vide comblé par une explication pompeuse : "l’œuvre sonore se révèle d’une complexité insoupçonnée (ah ah !) alors que se mêlent des références aux notions de jeu et d’éducation, de contrôle et de discipline" ; bref, si vous n’avez rien compris, l’andouille, c’est vous !

> dans la méga-vidéo Pencil Lift/Mr. Rogers (2013) l’artiste joue avec 3 crayons et son chat passe derrière… une oeuvre inepte appuyée par ce texte boursouflé : "jouant sur des sensations de tension et d’équilibre (elle) est une tentative de transcription d’une illusion d’optique (…) l’artiste met en évidence l’espace entre les choses et affirme que l’illusion fait partie du réel, dévoilant des parties du monde habituellement délaissées par notre regard"…

Bruce Nauman au rez-de-chaussée de la Fondation Cartier : y a rien à voir...

 

PS : les oeuvres au sous-sol sont, au contraire, tout à fait intéressantes

 

 

 

 

février, c’est n’importe quoi !

 

  Kenji Kawakami  

> Kenji Kawakami invente des Chindogu depuis les années 1980 ; ce sont d’étranges inventions utilisables mais résolument inutiles, qui engagent une réflexion sur le consumérisme et le matérialisme ; selon les dix commandements fondateurs du Chindogu, chaque objet doit affirmer la liberté d’être inutile, pouvoir être compris, constituer une forme de communication et ne peut être ni vendu, ni breveté, ni possédé

> elle est présente à l’exposition Le Bord des Mondes au Palais de Tokyo, consacré à l’art singulier

 

Kenji Kawakami, Chlndogu, v2014
(courtoisie l’artiste et PdT)

 

 

< jeu de maux
dans les rues de Paris

 

la pauvreté s’accentue >
l’animal n’est plus de compagnie

 

  Clément Menthuylenbroeck  

> sommet de l’humour belge au Festival Circulation(s) :
le malicieux Clément Menthuylenbroeck (pardon, comment vous dites ?), dans sa série Communal Dream, nous gratifie de ce concours de beauté où la frite accompagnerait bien le ragoût

 

 

 

Clément Menthuylenbroeck
(courtoisie l’artiste)

 

 

 

temps de cochon en janvier

 

> temps de cochon, horizon bouché... espérons que ce n’est pas une prédiction pour 2015 !

Cette oeuvre consacre l’entrée du street artiste Dran (champion de l’humour noir) dans un musée, en l’occurence le Palais de Tokyo, où il a dessiné une fresque absolument extraordinaire dans un escalier qui part d’on ne sait où pour aller nulle part

 

 

Dran, Attention à ne pas tomber, 2015,
in-situ (courtoisie Palais de Tokyo)
  Jeff Koons, Fait d'hiver

 

> un tour de cochon ! voila ce qui est arrivé à cette porc-celaine de Jeff Koons : elle vient d’être retirée de la formidable rétrospective de l’artiste à Pompidou ; pourquoi ?

Koons aurait contrefait une pub de la marque Fait-d’hiver, prêt-à-porter féminin qui ne manque pas de culotte, sous prétexte qu’elle a fait une pub en 1988 qui a inspiré Koons (dont on sait l’intérêt pour les dessous) ; c’est vrai mais, évidemment, seules les mauvaises langues soupçonnent la marque de profiter de se faire une super pub gratuite... entre cochons...

Jeff Koons, Fait d’hiver, 1988, porcelaine
(provenance Collection Prada Milan)
  Jeff Koons, Fait d'hiver

 

> le dernier jour de ce mois, histoire de bien finir le thème, 4 sales petits co(cho)ns ont agressé violemment le street artiste Combo, en train de peindre au pochoir cette harangue à la coexistence pacifique, en se représentant en djellabah

> la journée du 11 janvier n’a pas suffit, les cochons prolifèrent encore... et si l’on croit cette tradition, "l’Evolution de l’homme" ne va pas dans le bon sens !

Combo, Coexist, 2015
  Combo Coexist

 

 

encore plus d’humour ? voyez rire en 2014, et toutes les autres !

 

 

 



 

 

 

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cette aquarelle post-surréaliste de Janine Zimbler est typique ; une oeuvre délicate d’une artiste inspirée, dont une oeuvre a été achetée par le Centre Pompidou

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