Note sur les visuels : si les droits liés à l’expo sont échus, ne restent que des imagettes de faible définition à titre de mémoire, sans agrandissement possible ; celles agrandissables ont obtenu un accord ou sont libres ou sont en "fair use" ; en cas d’erreur svp nous en faire part et, suite vérification, le visuel sera retiré ou mis en imagette-mémoire ; merci ! |
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dès l’entrée vous êtes brutalement confronté à un jeune homme en train littéralement de crever, crachant bruyamment du sang ; insupportable mais
bonne mise en condition car la menace de la mort est ici omniprésente ; et ce qui en reste après : des fantômes et une tentative désespérée de l’artiste d’en retenir la mémoire. Il s’agit d’un montage fait avec son frère, et l’on comprend que pour Boltanski, dans chaque disparu il y a d’abord la vie.
Les salles se suivent, sombres comme des chapelles, rythmées par des battements de coeur, le parcours et les visages veillés par les lumières pâles. L’oeuvre de Christian Boltanski étant souvent montrée, apparaît ici tout de même assez répétitive, impression accentuée par l’omniprésence de la mémoire des morts, même déclinée en sens de la vie, rites mortuaires, fragilité, présence fugitive... ;
Autre oeuvre qui s’écarte du commun : ces mannequins qui vous interpellent :
extrait d’entretien avec Bernard Blistène : |
"peut-être que je me situe à l’intérieur de la tradition d’un chaman ou d’un prêcheur qui invente des nouveaux mythes auxquels les gens vont plus ou moins croire et qu’ils vont retransformer après eux" |
Christian Boltanski étend son oeuvre aux rituels de mémoire de tous pays ;
Toute l’exposition, baignée de battements de coeurs, vous plonge dans une ambiance de recueillement, éclairée au plafond sur tout le parcours, comme sur chaque installation, par des ampoules faibles jaunâtres qui symbolisent non pas l’espoir mais simplement l’apaisement, notion à laquelle Boltanski tient beaucoup comme conclusion de la mort.
plus d’infos : |
> l’exposition
au Centre Pompidou |
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